Selon l’Organisation Internationale de la Vigne et du Vin, la production de vin dans l’hémisphère Sud, qui inclut l’Australie et la Nouvelle-Zélande, devrait atteindre 47 millions d’hectolitres en 2025, soit une hausse de 3 % par rapport à l’année précédente, qui avait connu le plus faible volume depuis 2004. Si l’on reste loin des records de 2021 et 2022, cette reprise, même modérée, est un signal positif pour l’économie viticole de la région, qui avait souffert de conditions climatiques défavorables et de perturbations liées à la pandémie. Cette embellie pourrait permettre aux producteurs de retrouver une certaine stabilité, d’autant que la demande internationale reste soutenue, notamment en provenance d’Asie et d’Amérique du Nord. Toutefois, ces chiffres restent provisoires et pourraient être révisés dans les prochaines semaines, en fonction de l’évolution des vendanges et des conditions météo. À moyen terme, cette dynamique pourrait encourager des investissements dans le secteur et stimuler l’emploi local, tout en renforçant la place de l’Océanie sur la scène viticole mondiale.
#vin #Australie #NouvelleZelande #viticulture #OIV #economie #actualite #viniculture #oceanie #productionvinicole #repriseeconomique #international
Mots clés : vin, Australie, Nouvelle-Zélande, viticulture, OIV, Organisation Internationale de la Vigne et du Vin, économie, actualité économique, production vin, production viticole, hémisphère sud, vendanges, marché du vin, exportation vin, reprise économique, investissement viticole, emploi local, scène viticole mondiale, production vin Australie, production vin Nouvelle-Zélande, conditions climatiques, pandémie, demande internationale vin