Le 17 avril, une nouvelle directive européenne dite « stop the clock » est entrée en vigueur, reportant de deux ans l’application de certaines obligations de publication d’informations en matière de durabilité pour les grandes entreprises et les PME cotées, et d’un an pour le devoir de vigilance des grandes entreprises. Cette mesure vise à alléger la charge administrative et à donner plus de temps aux entreprises pour se préparer, alors que la Commission européenne publiera prochainement des lignes directrices pour accompagner la mise en œuvre de ces règles. Sur le plan économique, ce report est salué par de nombreux acteurs industriels qui redoutaient une perte de compétitivité face à la complexité des nouvelles normes, tandis que certains défenseurs de l’environnement s’inquiètent d’un ralentissement des avancées en matière de transparence et de responsabilité sociale. À terme, ce compromis pourrait permettre une meilleure adaptation des entreprises européennes, tout en préservant les ambitions du Pacte vert européen.
#UnionEuropéenne #Durabilité #Entreprises #Compétitivité #PacteVert #Economie #Environnement #ActualitéEuropéenne #NormesEnvironnementales #RGPD #reportingextrafinancier
Mots clés : Union Européenne, durabilité, entreprises, compétitivité, Pacte vert, économie, environnement, actualité européenne, normes environnementales, RGPD, reporting extra-financier, directive européenne, stop the clock, PME cotées, grandes entreprises, devoir de vigilance, Commission européenne, lignes directrices, charge administrative, transparence, responsabilité sociale, adaptation entreprises, enjeux économiques, implications environnementales