Le sommet de la CELAC critique les politiques commerciales américaines et propose une femme secrétaire générale des Nations Unies.

Lors du sommet annuel de la Communauté des États latino-américains et des Caraïbes (CELAC) tenu à Tegucigalpa, Honduras, les dirigeants régionaux ont exprimé leur opposition aux mesures commerciales unilatérales des États-Unis, notamment les tarifs imposés par le président Donald Trump. Trente pays membres ont signé une déclaration dénonçant ces pratiques, bien que l’Argentine, le Paraguay et le Nicaragua se soient abstenus pour des raisons politiques. Le sommet a également mis en avant l’idée qu’une femme originaire d’Amérique latine ou des Caraïbes devrait devenir la prochaine secrétaire générale des Nations Unies, une première historique. Cette proposition intervient alors que le mandat du secrétaire général actuel, António Guterres, prendra fin en 2026. Ce sommet illustre les tensions croissantes entre l’Amérique latine et les États-Unis sur des questions économiques et diplomatiques, tout en soulignant la volonté de la région de renforcer son influence internationale. Les perspectives incluent une coopération accrue avec l’Union Européenne et d’autres blocs internationaux, ce qui pourrait redéfinir les alliances géopolitiques dans les années à venir.

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