Le 13 mai 2025, la junte militaire au pouvoir au Mali a officiellement dissous l’ensemble des partis politiques et organisations à caractère politique par décret présidentiel, suspendant aussi toutes les réunions politiques sur le territoire. Cette décision, redoutée depuis plusieurs semaines, fait suite à une manifestation d’opposants début mai à Bamako et à une série d’arrestations de figures de l’opposition. Selon le gouvernement de transition, cette mesure s’inscrit dans la volonté de « réformes » et de refondation politique, mais elle suscite une vague d’indignation parmi les acteurs politiques maliens, la société civile et les défenseurs des droits humains, qui dénoncent un « coup de force contre le multipartisme » et la fin de la liberté d’association. Plusieurs analystes estiment que cette décision vise à consolider l’emprise de la junte en vue d’un maintien prolongé au pouvoir, alors que la feuille de route pour le retour à l’ordre constitutionnel reste floue. La communauté internationale, dont l’Union Européenne et l’Union africaine, a exprimé sa préoccupation et appelé à la restauration rapide du pluralisme politique pour préserver la stabilité et la démocratie dans le pays.
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