La Tunisie accélère la répression contre la société civile et les migrants d’Afrique subsaharienne.

Depuis le 21 avril 2025, la Tunisie connaît une intensification de la répression contre les opposants politiques et les migrants d’Afrique subsaharienne, sous l’impulsion du président Kaïs Saïed. Plusieurs décrets-lois aux termes très vagues ont été promulgués pour museler la société civile, tandis que de nombreux camps de migrants ont été démantelés de force, avec des tentes brûlées et des expulsions accélérées, sur fond de retours « volontaires » vers les pays d’origine. Cette politique autoritaire suscite de vives critiques de la part des organisations de défense des droits humains, qui dénoncent une « folie judiciaire » et une atteinte grave à la réputation de la Tunisie, autrefois considérée comme un modèle démocratique dans la région. Sur le plan social, ces mesures aggravent la précarité des migrants et alimentent les tensions communautaires, tandis que la scène politique tunisienne se retrouve de plus en plus polarisée autour de la question des libertés publiques et de la gestion de la migration.

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