La loi de finances pour 2025, promulguée le 14 février mais dont les effets se font sentir ce printemps, instaure une contribution exceptionnelle sur les bénéfices pour les grandes entreprises réalisant plus d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires. Cette taxe, calculée sur une moyenne de l’impôt sur les sociétés des deux derniers exercices, s’élève à 20,6 % pour les entreprises dont le chiffre d’affaires est compris entre 1 et 3 milliards d’euros, et à 41,2 % au-delà. Elle vise à limiter l’optimisation fiscale des plus grands groupes et devrait rapporter environ 8 milliards d’euros au budget de l’État. Un acompte de 98 % devra être versé en fin d’année, ce qui pourrait impacter la trésorerie des entreprises concernées, tout en renforçant les ressources publiques dans un contexte de déficit budgétaire élevé. Cette mesure suscite des débats sur sa capacité à préserver la compétitivité des entreprises françaises face à la concurrence internationale, mais elle répond à une demande de justice fiscale accrue dans la société.
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