La Grande muraille verte, un projet panafricain lancé en 2007 pour freiner la désertification de Dakar à Djibouti, continue de susciter l’espoir dans la région, notamment en Éthiopie et à Djibouti, mais peine à atteindre ses objectifs initiaux. Alors que 45 % des terres africaines sont menacées par la désertification, cette initiative, qui vise à reverdir des millions d’hectares de terres dégradées, fait face à des obstacles majeurs, dont le manque de financements et l’ampleur du défi environnemental. Malgré ces difficultés, la Grande muraille verte a permis l’émergence de nombreux projets locaux en Afrique de l’Est, misant sur des techniques agricoles traditionnelles comme les « demi-lunes » pour retenir l’eau et restaurer la fertilité des sols. Ces efforts contribuent non seulement à la lutte contre le changement climatique, mais aussi à la sécurité alimentaire et à la résilience des communautés rurales, même si les perspectives d’atteindre les objectifs fixés pour 2030 restent incertaines. L’Union africaine a récemment adopté une nouvelle stratégie décennale pour renforcer la restauration des écosystèmes, soulignant la nécessité d’accélérer les investissements et la coopération régionale afin de transformer ces initiatives locales en succès à grande échelle.
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