En Tunisie, des peines de prison record pour complot contre la sûreté de l’État relancent le débat sur la répression politique.

Le 19 avril 2025, la justice tunisienne a prononcé des peines de prison allant jusqu’à soixante-six ans contre une quarantaine d’accusés, dont des figures de l’opposition, dans le cadre d’un procès pour complot contre le président Kaïs Saïed et la sûreté de l’État. Selon des sources judiciaires et Human Rights Watch, ce procès, inédit par son ampleur, est perçu par de nombreux observateurs comme une instrumentalisation du système judiciaire pour écarter les opposants et les dissidents. Cette vague de condamnations, qui intervient dans un contexte de crispation politique et de durcissement du régime, suscite de vives inquiétudes quant à l’avenir des libertés publiques et à l’indépendance de la justice en Tunisie. Les organisations de défense des droits humains appellent la communauté internationale à surveiller de près la situation et à soutenir la société civile tunisienne dans sa lutte pour l’État de droit.

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