Le 2 mai, Oman a annoncé le report pour des raisons logistiques de la quatrième session de discussions nucléaires entre les États-Unis et l’Iran, initialement prévue à Rome le 3 mai. Le même jour, Washington a imposé de nouvelles sanctions contre sept entités impliquées dans le commerce de produits pétroliers iraniens. Le président Donald Trump a menacé d’appliquer des sanctions secondaires à tout pays ou personne achetant du pétrole ou des produits pétrochimiques iraniens. Cette intensification de la « pression maximale » accroît la méfiance de Téhéran et complique la reprise du dialogue. Les diplomates craignent que ce mélange de sanctions et de négociations ne prolonge indéfiniment le cycle de pourparlers, privant les deux parties de l’élan nécessaire pour conclure un accord. Cette situation génère une incertitude croissante sur le marché pétrolier mondial et menace la stabilité régionale au Moyen-Orient.
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